Fanfic Addex - Rien que d'y penser

La suite



« Rien, je suis juste fatigué »



« Alex… »



« Il y a une femme… que je ne peux pas, que je dois pas... Euh… fréquenter. Mais ce n’est pas grave, elle ne compte pas plus qu’une autre. » Il avala sa tequila.



« Pour que ça te mette dans cet état là, c’est qu’elle doit justement compter plus que toutes les autres. Qui est-ce ? Je la connais ? »



« On avait dit pas de jugement, tu te souviens ? »



« Ok. Mais si tu veux en parler… en attendant je vais me coucher. Bonne nuit Alex. »



« Bonne nuit et… sois là pour lui. Parfois la présence de celle qu’on aime à nos cotés nous suffit »





Une nouvelle journée commençait au Seattle Grace dans la tumulte d’un carambolage qui avait eu lieu à l’heure de pointe. Tout les internes étaient sur le qui vive. Alex espérait pouvoir traiter un cas relatif à la néonat, ce qui lui permettrait de travailler en binôme avec sa titulaire préférée. Et tout s’annonçait de bon augure quand une femme enceinte de 5 mois fut emmenée par les ambulanciers. Cependant Addison désigna d’office Izzie pour la seconder. Alex lui jeta un coup d’œil éclair avant de partir s’occuper du cas que lui avait assigné Bailey.



Addison remarqua le regard glacial que lui avait adressé Alex. Elle se devait de maintenir une certaine distance entre eux. Autrement, elle n’était pas sure de pouvoir résister à la tentation de lui avouer la vérité. Le mensonge est parfois un bien meilleur refuge, la distance freine le désir ou tout du moins, empêche son accomplissement. Il lui était trop difficile de travailler avec lui. Alors elle évitait les obstacles, contournait les difficultés pour tenter de garder pied dans cette existence chaotique. Et le chaos venait en grande partie d’Alex, qu’elle allait alors fuir du mieux possible.



Pour celui-ci, le début de journée était bien terne. Non seulement Addison l’évitait avec soin, mais en plus l’intervention qui s’offrait à lui avait finalement été attribuée à O’Malley. Et pourquoi Addison se dérobait-elle ainsi ? Il pensait lui avoir fait comprendre qu’il s’était résigné à ne rien attendre de sa part. Pourquoi continuait –elle de le torturer ainsi ?

Il expédia rapidement ses patients aux urgences puis alla rendre visite à Ava. Son accouchement était imminent et elle demeurait toujours sans nouvelle de ses proches, et surtout sans souvenirs. Elle affichait cependant une grande sérénité et Alex admirait le courage dont elle faisait preuve, malgré toutes les épreuves qu’elle avait subies. Lorsqu’il entra dans la chambre, le silence régnait et Ava dormait paisiblement. Alex fut surpris de constater qu’il était déçu, il avait beau se plaindre et jouer les renfermés, il aimait la façon dont elle l’incitait à se confier. Et il avait besoin de se libérer un peu de l’emprise de son secret, toute cette histoire le rongeait de plus en plus.



Il se dirigea alors en maternité, juste pour prendre quelque instants pour observer les minuscules petits pieds et bras qui s’agitaient dans les couveuses. Cette image avait quelque chose de surréel. Lui, Alex Karev, tentait de trouver un peu de sérénité auprès de tout ces nouveaux nés.



Pendant ce temps, Addison examinait Madame Watson. Elle n’avait toujours pas décidé si elle allait porter plainte contre son mari ou non. L’estomac noué, Addie tentait de dissimuler sa peur du mieux possible. M Watson avait beau avoir été déclaré indésirable au sein du Seattle Grace, Addison ne pouvait s’empêcher de trembler en pensant à une hypothétique intrusion de ce sauvage.



Elle acheva sa visite avec la plus grande rapidité possible puis se rendit au poste des infirmières afin de remplir quelques dossiers. James Carter qui passait par là dans l’éventualité d’y croiser la jolie rousse, s’approcha d’elle avec autant de charme que de suffisance. Il lui adressa un sourire, s’accouda au bureau, et transpirant de vanité lui dit :



« Je suis sur que vous n’attendiez que moi pour illuminer votre journée. Je vous invite à déjeuner. Apres m’avoir abandonné hier soir, vous ne pouvez pas me refuser un malheureux déjeuner »



Devant l’orgueil qu’il affichait avec autant d’assurance, Addie ne pu réprimer un éclat de rire. Visiblement satisfait du résultat de sa requête, James poursuivit sa plaidoirie par d’autres remarques similaires. Sans toutefois accepter son invitation, Addison ria de plus belle. Apres tout, un peu de frivolité n’était pas superflue dans son existence.

Alex, qui revenait de son exil salvateur en maternité ne pu résister à l’envie de faire un crochet en néonat dans l’espoir d’apercevoir Addie. Il fonça droit dans un mur. Brutalement. Douloureusement. Elle riait… elle riait avec un autre. Elle s’était donc bien foutue de lui. Il n’avait été qu’un instrument dans un stupide jeu. Elle s’était servie de lui pour combler un peu de solitude, elle lui avait fait miroiter des choses qui n’étaient pas. Alex senti la colère monter en lui et se retourna pour faire demi tour. Il bouscula une infirmière. Addison détourna les yeux de Carter et aperçu Alex. Elle comprit aussitôt qu’il avait du les voir et cette fois-ci, elle se doutait qu’elle l’aurait sûrement définitivement perdu. Le visage blême, la gorge obstruée par l’embarras, elle trouva un prétexte pour s échapper de la conversation et laissa un James Carter surpris de n’avoir obtenu ce qu’il désirait.



Elle se dirigea aussitôt vers les toilettes, s’enferma dans une cabine et versa quelques larmes. Qu’avait-elle donc fait pour jouer d’autant de malchance ? Et pourquoi donc était il si difficile de se montrer distante. Cet amour lui broyait le cœur, les cendres de son mariage avaient été balayées par cet homme qu’elle n’avait pas le droit d’aimer… et qui ne l’aimait peut être pas. Quoiqu’il en soit, Addison s’en voulait de lui avoir infligé ce pathétique spectacle, elle devait vraiment passer pour une femme facile. Elle aurait voulu fondre sur place, se liquéfier pour ne plus jamais croiser son regard. Elle ne supportait pas l’idée de l’avoir déçu, de l’avoir blessé d’avantage. Pas après la gentillesse dont il avait témoigné hier, pas après qu’il lui ait murmuré ces mots qui résonnaient encore dans son esprit.

Son biper sonna. Elle essuya ses yeux rageusement, pris une grande inspiration et sorti de la cabine. Elle se regarda dans la glace, effaça les traces de maquillage puis sorti des toilettes comme si rien n’était.



Alex était assis à la cafétéria et tentait désespérément d’avaler son déjeuner. Il ne pouvait effacer la scène qu’il avait surprise quelques minutes plus tôt. Tout cela lui donnait la nausée. Il essayait tant bien que mal –et d’ailleurs avec plus de mal que de bien- de lui en vouloir. Mais la douleur primait sur le reste. Sans qu’il ne puisse vraiment lutter contre.

Meredith posa son plateau-déjeuner en face de lui et s’assit. Elle sentit que les problèmes d’Alex, tout comme les siens, n’étaient pas sur la voie d’une quelconque amélioration. Mais elle eu beau user de divers stratagèmes pour tenter de percer le mystère de cette femme qui le tourmentait, elle n’obtenu pas satisfaction. Alex demeurait plus muet qu’une tombe. Soudain, elle remarque sa mine s’assombrir davatnage. Elle se retourna pour savoir ce qui pouvait bien l’attrister ainsi et aperçu Addison qui marchait au loin. Meredith fit aussitôt le rapprochement avec ce que son ami lui avait dit la veille. Addison était la femme interdite, celle à qui il ne pouvait s’empêcher de penser. Elle n’osa pas faire part de sa découverte à Alex et se résolu à ne plus lui poser de questions. Elle finit son déjeuner en échangeant avec lui quelques banalités.



Alex laissa la moitié de son repas sur son plateau et monta prendre des nouvelles d’Ava. Cette fois-ci, elle était éveillée et lisait.



« Alors, quoi de neuf ? » demanda-t-il



« Pas grand-chose… Je m’ennuie. Heureusement que cet hôpital est un vrai feuilleton. Je n’ai pas besoin de télé… »



« Pardon ? »



« Le bureau des infirmières n’est pas loin. J’entends tout les ragots… d’ailleurs j’ai une nouvelle à propos de la rouquine »



« Non… je t’assure que je n’ai besoin d’aucune information à ce sujet… » dit-il, laissant paraître un peu du désarroi qui s’était emparé de lui.



« … Comment ça… toi et la jolie rouqine n’avez pas encore mis les choses au clair ? Mais vous attendez quoi ? »



« S’il te plait » coupa-t-il « Stop. C’est bon, je ne veux pas en savoir plus, ce qu’elle fait ne m’intéresse pas, et je ne veux plus rien à avoir à faire avec elle, aussi bien sur le plan personnel que professionnel. »



« Menteur » marmonna Ava avant d’embrayer sur un autre sujet de conversation.



En apercevant Addison en consultation avec un patient, Meredith se souvint de l’air accablé d’Alex au déjeuner. Elle décida qu’elle pouvait peut être faire jouer un peu la chance et se muer en Cupidon. Elle entra dans la salle où se trouvait Addison.



« Je peux vous aider ? La clinique est quasiment vide et je recherche désespérément un cas » plaida-t-elle



« Faites faire ces tests au labo » répondit Addison en lui tendant un dossier « puis faites une écho pour vérifier que tout aille bien. Ce cas est à vous »



Gagné. Meredith avait un pied dans l’arène. Restait à trouver un astuce pour contraindre Addison à quelques confidences.



Pendant ce temps, Alex et Ava conversaient tranquillement dans sa chambre, tandis qu’il surveillait toujours le rythme fœtal. Elle avait bien tenté à quelques reprises de le faire parler de la chirurgienne, mais elle n’était parvenue à aucun résultat probant. Elle n’arrivait pas à déceler ce qui, de la colère ou de la déception, ruinait le plus son ami. Alex s’efforçait de ne rien laisser paraître et voulait profiter de ces quelques minutes de détente pour effacer un peu Addison de son existence.

La fin... du chapitre



Mais celle-ci, qui savait très bien ou trouver son interne, feint d’avoir quelques résultats à examiner pour venir au bureau des infirmières et apercevoir ainsi Alex. Ava, qui remarqua immédiatement sa présence s’arrêta brusquement de parler. Alex suivi son regard et vit Addie, qui semblait perdue dans ses dossiers. Elle leva les yeux et croisa le regard de son interne, et ne pu s’en détacher. Elle sentait les larmes naître, tant la volonté de bien paraître brimait ses envies. Mais Alex brisa ce moment et se remit à parler avec Ava immédiatement, sans pour autant lui avouer ce qui s’était passé. Il luttait de toutes ses forces pour ne pas la regarder à nouveau, ruminant son orgueil et sa déception.



Addison replongea dans son dossier puis se prépara pour sa prochaine intervention. La journée enfin terminée, elle s’étonna de n’avoir eu aucune nouvelle de Meredith et de sa patiente. Elle se décida donc à se rendre dans la chambre de celle-ci pour vérifier que les examens avaient bien été pratiqués. Elle regarda le dossier, vit que Meredith avait scrupuleusement observé les directives qu’elle lui avait données.



« La jeune femme a été adorable » remarqua la patiente. « Elle m’a tenu compagnie un long moment et m’a expliqué exactement comment se déroulait la césarienne. Par contre, elle a oublié ceci » dit elle en tendant le biper de Meredith à Addison.



Addison soupira. Personne n’était à l’abri d’une négligence mais elle déplora le manque de rigueur de Meredith sans savoir que l’objet n’avait pas été laissé là par pur hasard. Addie se rendit au poste des infirmières pour tenter de trouver son interne du jour. Elle croisa Izzie Stevens qui s’évertuait à convaincre Bailey qu’elle ne voulait pas travailler en ortho. Addison fit semblant de lire le tableau d’affichage, le temps que la conversation entre les deux femmes s’achève. Elle attrapa ensuite Izzie qui s’apprêtait à se rendre en orthopédie.



« Je cherche Grey, vous ne l’auriez pas vue ? »



Izzie fut surprise de la décontraction avec laquelle la chirurgienne s’adressait à elle. Ces derniers temps Addison lui avait semblé plutôt sur les nerfs. Qu’importe, se dit-elle avant de répondre : « Meredith a fini sa garde, la veinarde ». Elle doit être rentrée à cette heure-ci.



Addison soupira « Ah et… savez vous ou elle vit, je dois lui remettre son biper »



Izzie fut un peu étonnée par cette révélation « Oui, nous vivons ensemble…enfn, dans la même maison… je lui aurait bien remis, mais je suis de garde cette nuit. » affirma-t-elle avant de lui donner son adresse.



Addison remercia Izzie, puis recoupera ses affaires, se changea. Elle n’avait envie que d’un bon bain chaud et de repos. Faire un détour par la maison de la petite amie de son ex mari ne faisait par vraiment partie de ses priorités. Bien qu’elle soit passée à autre chose, tout cela était encore douloureux pour elle. De telles plaies ne se referment pas si rapidement.

Elle se rendit donc à l’adresse indiquée, et sonna, bien décidée à expédier cette tache au plus vite. Elle crut s’enfoncer sous terre lorsqu’Alex ouvrit la porte. Apres un long silence ; elle ouvrit la bouche sans qu’aucun mot ne puisse s’en extirper. De son côté Alex restait figé, tant par la surprise que par la cohue des sentiments qui l’envahissaient.



« Je… je … c’est bien la maison de Meredith Grey ? Izzie Stevens m’a donné cette adresse…» bredouilla-t-elle, la gorge sèche, les mains moites.



« Oui, c’est bien ici… je vis ici avec Izzie Stevens, et Meredtith, qui… » Il parut gêné.



« Qui est avec mon ex mari » soupira Addison



« Oui. Mais ils ne sont pas ici. »



« Ah… elle a oublié son biper. Je peux vous le confier ? Si elle ne garde pas, elle peut risquer de gros ennuis ».



Elle lui tendit le biper qu’il agrippa immédiatement. Il frôla sa main. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il s’en voulu de ne pouvoir maîtriser ainsi ses émotions. Addison chamboulait vraiment tout et il n’y pouvait rien.

Sans qu’il s’en rende compte, il avait laissé sa main sur celle d’Addison. Son aversion s’était envolée comme par magie, il n’avait envie que d’une chose.



« Vous… vous voulez entrer » balbutia-t-il



Addison espérait et craignait cette phrase. Elle aurait du refuser net, lâcher le biper et courir dans la direction opposée… mais sa main restait aimantée à la sienne. Elle le regarda ; elle croyait avoir perdu toute chance avec lui. Elle ne savait plus que penser. Elle fit quelques pas et pénétra fanialement dans l’entrée, sous les yeux d’un Alex médusé.



« Je ne veux pas vous déranger… vous » commença-t-elle.



Il la coupa rapidement. « Je dois savoir. Pourquoi ? Pourquoi êtes vous partie… dans les vestiaires l’autre jour ? » C’était une souffrance mais aussi un soulagement de pouvoir libérer quelques grammes de ce qui était démesurément trop grand pour son cœur.



« Alex… » Elle était perdue. Ses yeux ne pouvaient quitter les siens, sa main, la sienne. Le monde alentour disparaissait progressivement. Il ne restait plus que lui, dans cette entrée. Il sentait l’incompréhension lui brûler les lèvres, mais ne parvenait plus à savoir ce qu’il cherchait vraiment à savoir.

Elle fit un pas vers lui, puis deux… Addison sombrait définitivement dans la folie de ses sentiments. Elle empiétait une à une ses bonnes résolutions. Elle posa sa main sur son épaule, puis caressa son visage. Puis ses lèvres se ruèrent sur les siennes, sans qu’elle ne put contrôler ce qu’elle faisait. Elle lui offrit le baiser le plus passionné qu’elle n’avait jamais pu donner. Il l’enlaça et serra son corps contre le sien Le désir l’enflammait.

Addison se laissa porter par l’envie, cette envie dévorante d’être avec lui. Il l’entraîna dans sa chambre, parsemant au passage leurs vêtements dans l’escalier. La lumière tamisée se distillait auteur d’eux. Addison s’abandonna à la fièvre qui la gagnait. Elle sentit ses mains dessiner les courbes de son corps, ses baisers venir bénir son épiderme, ses lèvres. C’était le moment le plus torride de son existence. Enivrés de désir, leur corps s’unirent dans un orage de sensualité.



Il s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.

Quelques heures plus tard, Addison s’éveilla. Lovée dans ses bras, son visage contre son torse. De sa peau émanait un parfum enivrant qui plongea Addie dans la douceur du moment qu’ils avaient partagé. Mais qu’avait-elle fait ? Elle avait cédé, une fois encore… elle avait cédé devant cet homme qu’elle aimait plus que tout. Et c’est au nom de cet amour qu’elle s’était promis de ne plus se laisser aller.

Elle se leva et ramassa ses sous vêtements qu’elle enfila rapidement. Elle peinait à trouver tout ses vêtements, disséminés au quatre coins de la pièce, dans l’escalier. Qu’importe, elle ne pouvait l’affronter au réveil, elle s’en voulait d’être aussi lâche mais ne se sentait pas capable de lui faire face et de lui expliquer pourquoi elle ne pouvait l’aimer.



Elle ouvrit la porte de la chambre et s’apprêtait à en sortir quand elle entendit



« Mais où vas-tu ? »

oh la la !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j'adore !!!!!!!!!!!! c'est trop bien !!!!!!!!!!!!!!!! c'est magnifique !!!!!!!!!!!!!!! je rêvait tellement d'un moment comme ça !!!!!!!!!!!! j'ai envie de danser !!!!!!!!!!!!! trop heureuse merci !!!!!!!!! t'imagine pas ce que ça fait du bien de lire des choses comme ça !!!!! je veux la suite §!!!!!!

ouf ! lol je me suis déchainée mdr ! désolée je decompresse de mes exams ! merci bcp en tout cas c'est génial tu l'as pas du tout baclé !:

Moi qui pensait que ce chapitre était raté.... merci beaucoup

j'adore sincèrement je dis pas sa pour te flatter
ta fic est vraiment excellente !!!!!
sincèrement : Je t'adore !!!!
merci merci ...
je peux juste te dire que vivement la suite lol c'est la phrase que je mets tout le temps ...
et c'est clair que c'est pas baclé on voit que c'est fait avec amour

Je suis trop contente que ça vous plaise !!! Promis j'essayerai d'ecrire la suite le plus vite possible

j'arrive pas a croire qe ta mis une meredith gentille
et la scène final ... juste wow
c'était vraiment un beau rêve et qui sait peut être que tu rêveras de la suite cette nuit !! en tout cas je l'espère parce que la ta fic ma mise en appétit

héhé le show était ....chaud
Perso je suis en pleines révisions ; ça nm'a bien détendue ...

Merci bcp et encore bravo

Bah moi plus je relis moins j'aime... en fait j'aime pas la façon dont c'est ecrit...

Mais bon, je suis peut etre pas objective. Merci pour vos commentaires

EtOui, mereduth gentille, ça m'a fait mal, franchement, mais il me fallait quelqu'un pour aider Alex sur ce coup là et comme j'avais déjà utilisé le filon Jane Doe, et que Callie n'est pas assez proche d'Alex... bah meredith me semblait pluto appropriée

c'est la premièer fois que je me suis que meredith pouvait être quelqun de bien et le scénario est génial le coup de bipper bravo bien trouvé !!!
eti tu dois pas être objective parce que t'écris vriament bien si j'écrivais comme sa j'arriverai peut être au moins une fois a voir la moyenne en français
la prof aime vraiment pas comment j'écris.. pas de bol

Lol moi aussi elle dit que je ne suis pas structurée mais bon j'ai 12 , ça psse
SInon et bah , moi perso j'adore et même si tu trouves que c'est mal écrit , ce qui compte c'est le fond et ton histoire est super

Merci, je tacherais de poster la suite ce week end

ce week end déja wow trop bien !!!!!!!!

Vi, parce que je voudrais ecrire une autre fic (un scenario possible pour la fin de la saison) donc je dois m'activer

deux bonnes nouvelles en une journée !!!
je suis pas habituée
merci !!!

Loooool

Oui, c'est une sorte de scénario alternatif, au cas ou les choses dans le season finale ne se passent pas comme je veux

oui et même si je veux rester optimisteje sais que la saison ne finira jamais comme je l'ai rêvé...
mas qui sait on va peut être être agréablement surprise !!

Héhé , lol impatiente , je révise et je prend ma apuse juste pour te lire

Quel privilège

moi l'oral de français approche et en fait je prends une pause permanante !!

moi c'est dans 2 semaines ts mes exams sont finis ce soir je joue au théâtre j'ai un peu les choquottes de vs lire ça me fait oublier ... en tou cas c'est cool si on est déçues avec toi on le sera pas entièrement ! merci !!!!

;à bnne chance en tout cas pour le théatre tu as y arriver !!
je penserai a toi pour ce soir

J'espère que le théâtre s'est bien passée Johanna. je me mets à l'ecriture demain, quelque petits soucis familiaux m'ont contrainte à changer mon programme de la journée

Manon, je suis touchée du privilège que tu accordes à ma fic, j'espère que tu seras pas déçue

aie les problèmes familiaux je connais sa c'est bien galèe..
en tout cas j'ai trop hate de lire ta fic je me suis mise a lire des fics en anglais bon je comprends que en gros ce qui se passe
ily a une qui est magnifique c'est ma préférée c'est addie qui est invitée au mariage des parents de derek et elle a besoin de quelqun pour l'accopgner et elle demande alex de jouer son ptit ami pour un week end trop trop bien !!
la j'attends aussi la suite ave impatence décidemment

Je l'ai pas lue celle là.. tu aurais le lien siteplé?

J'ai fait une pause GRand Prix (C'est Massa qui est en tête) et je me remet à l'ecriture

et Massa a gagné
voila le lien tu vas voir c'ets la mellleure fic du monde :
http://www.fanfiction.net/s/3511538/1/
ele est tellement bien que je m'en remets pas !!!
sinon me fait trop plaisir de te donnerun lien c'et la première fois j'ai l'impression d'être util la

Oui Forza Ferrari !!!!

Merci pour le lien de la fic, je vais lire ça tranquillement avant d'aller me coucher. Et tu es tres utile, c'est toi qui me supporte le jeudi soir pour levisionnage des episodes de Grey's.

Bon sinon, j'i fait de lassistance au devoirs pour mon frère ce soir, donc je suis un peu à la bourre coté fic. Sorry

c'est pas grave !!!
en tout cas sa ma fait plaisir de te donner un lien et j'espère que t'as aimé cette fic autant que moi je l'ai adoooré !!
je me la relis tout le temps

Elle est géniale, !!!

J'ai une amie qui en a ecris une aussi 'in english, sorry) mais trop trop bien, je vous posterais le lien demain car là c'est le bordel je sais plus ou j'en suis)

J'adore le principe de l'hitoire et c'est sympa comme sa des fics qui suivent pas trop l'ordre de la série !!
une fic en anglais c'est pas grave maintenant je m'entraîne à les lire je comprends pas toutmais juste ce qui se passe en gros c'est déja pas mal

Oki, je fais un post avec deux fics acrites par des "amies" shippeuses US

génial j'y vais tout de suite
merci

tu me diras ce que tu en penses

Bacelle quej e connaissais je l'adore trop et j'attends la suite n'empêche que moi aussi j'ai trop cru que c'était le mec d'addie !!! c'était vachement ben écrit !!
et l'autre je suis en train de lire et j'adore aussi
alors comme d'habitude je vais juste te dire merci

Je t'en prie, ça me fait trop plaisir de pouvoir partager ça

et oui, moi aussi, au debut je me suis vraiment, dit, elle s'est déjà trouvé un nouveau mec. mais ouf, ce n'est pas le cas

le pire c'est que dans les fics je commence a apprécierizzieet merdith..
elle sont toujous sympa c'est pas habituel sa me fait bizarre..

oui, désolée j'écrirai pas pendant un petit moment vous devinerez jamais ce qui m'est arrivé vous allez rire j'ai la crampe de l'écrivain, mon oral blanc c'est mardi je vais souffrir, donc la suite bientôt quand j'aurai plus mal au 2 poignets mdr

c'est vraiment trop la poisse c'est une malédictin !!
pile au moment ou on a le plus besoin de fic !!!
c'est la faute de shonda en fait

oui c'est elle qui m'a proté la poisse mais je peuxx encore me servir de mes pieds et elle va le sentir passer !!!

oui
dommage qu'écrire avec ss pieds ce soit plus dur !!

oui c'est clair mdr !!! mais bon je vais chez l'osthéo bientôt ça sera vite réglé j'espère !

t'inquiètes j'espère aussi !!!
le suspens est insoutenable

mdr ! tout à l'heure je saurai !!!! et puis plus de controle donc je vais pouvoir écrire !!!!!

Bon rétablissement en tout cas; moi j'ai pu que les corrections à faire, promis je vais faire ça rapidement... mais j'ai perdu un ami récemment donc c'est pas une super periode... enfin bref, la chapitre 5 arrive bientot sur vos ecrans. lol

... désolé pour l'ami le chap c'est pas si important ..
je penserai a toi !!

c'est clair mon arrière grand mère est morte y a un an ça fait bizarre je l'avais peu connu ms qd mm alors t'inquiète prend le tps qu'il te faut :! et désolé pr lui

Merci en fait c'etait l'ex petit ami d'une copine... mais bon je le connaissais bien, ça fait bizarre quand même... mais bon la vie continue.

En tout cas merci pour votre soutien et le plus dur est passé... j'ai plus que les corrections à faire, je vais m'en occuper dans le week end.

c'est chouette sa
trop impatiente !!!

allez hop c parti

Chapitre 5


Addison resta interdite. Ses mains tremblaient, son corps semblait se dérober sous ses pieds. Elle peinait à respirer. Elle se sentait telle une criminelle. Prise en flagrant délit. Les remords l’éventraient. Elle semblait presque défaillir.



« Ou vas-tu ? » répéta Alex derrière elle.



Addison tourna la tête, livide. Un frisson glacial lui poignarda le cœur. Elle même ne savait pas vraiment pourquoi elle s’en allait ainsi. Elle ne savait pas comment lui dire l’absurde vérité. Comment embaumer cette abjecte réalité. Elle cherchait désespérément un miracle pour dissimuler l’affection qu’elle éprouvait pour lui dans la tirade assassine qu’elle s’apprêtait à vomir. Le monde est pétri d’injustices. Elle ne pouvait cueillir ce bonheur si prometteur. Et devait même en être le bourreau.

Le silence s’installa alors comme une écrasante machine de guerre. Les remords lui obstruaient la gorge. Elle étouffait. Elle sentait sa main s’agripper plus fermement à la poignée, comme elle se serait accrochée à une bouée. Elle ne voulait pas perdre pied, mais cette atmosphère devenait de plus en plus oppressante. Elle n’aurait pu dire combien de secondes, de minutes, s’écoulèrent alors qu’elle cherchait une issue miraculeuse à ce piège infernal. Alex s’impatientait. Il s’était dressé dans son lit et regardait Addison d’un air inquisiteur. Quelques petites rides sur son front trahissaient son inquiétude.

Pourquoi lui ? Il y avait des milliers de célibataires à Seattle, des milliers de mâles en quête d’aventures avec qui elle aurait pu entretenir le désir et briser sa solitude. Des partenaires de jeux qu’elle aurait pu écumer au gré de ses envies sans risquer de se blesser... ou d’y blesser qui que ce soit. Alex Karev était le plus douloureux cadeau que la vie lui ait faite. Elle n’avait rien vu venir. Au départ, elle avait pensé qu’il ne serait qu’un interne comme les autres, et la seule idée de la simple attraction physique ne lui avait pas effleuré l’esprit. Les brûlures de son divorce ne s’estomperaient jamais, et rien ne pourrait panser les plaies de son cœur. Alors quelle était donc cette providence qui lui jouait des tours, quel était ce cœur sadique qui s’attachait obstinément à ce qu’elle ne pouvait avoir ? Cette nuit n’avait été qu’un délice éphémère, et elle s’en voulait d’avoir cédé ainsi à ses pulsions. Il était dur de se résoudre à l'acide évidence.



Alex mit fin a cette silencieuse agonie :

« Addison ? »



Elle s’approcha de lui, s’assit sur le bord du lit. Alex se rapprocha d’elle, déposa un baiser sur sa joue, puis dans son cou… Addison lâcha prise. Elle ne pouvait pas lui dire, elle sentait la force et le courage lui faire défaut. La morale et le code de bonne conduite s’évanouissait quand il était auprès d’elle. Ces quelques minutes de bonheur évanescent méritaient bien un peu de répit. Elle s’abandonna à ses caresses, à ses baisers… Alex déboutonna son chemisier et Addie sentit ses mains se glisser le long de sa peau nue. Les battements de son cœur résonnaient comme une caisse de tambour et faisaient écho à son souffle haletant. Sa conscience lui hurlait de le repousser. Ce cri lui déchirait le cœur tant cette lutte acharnée semblait insoutenable. Addie ne savait à quoi céder. Apres un long moment d’hésitation et quelques baisers torrides volés à ce moment de pur bonheur, elle opta pour la solution la plus raisonnée. Elle se dégagea de son emprise, le corps encore engourdit par ses caresses.



« Qu’y a-t-il ? » l’interrogea-t-il, un peu surpris par la soudaineté de son geste



« On ne peut pas, Alex… »



« Je t’assure que si… ne te souviens-tu pas, cette nuit… » dit-il, l’air moqueur



Il déposa à nouveau quelques baisers sur son épaule.



Addie frissonna, puis se leva pour échapper au charme envoûtant de son jeune interne. « Alex… non… » dit elle en luttant contre magnétisme qu’il dégageait « Cette nuit était merveilleuse. Jamais je n’avais cru pouvoir ressentir ça à nouveau un jour. Mais on ne peut pas… tu sais bien … »



« Non je ne sais pas, et je ne comprends pas... Mais bordel qu’est ce qui ne va pas chez toi ? Un coup c’est oui, un autre non. Et moi je suis quoi là dedans, Un jouet ? une distraction ? » Les mots étaient froids, crachés violemment comme s’il voulait s’en débarrasser. Et ses propos se durcissaient à mesure que son incompréhension et sa colère grandissait.



« Je voudrais plus, je voudrais beaucoup plus. Mais il y a beaucoup de risques dans cette histoire. Je ne veux pas te demander… et je ne peux décemment pas le faire… je ne peux pas exiger de toi quelque chose que tu ne peux pas me donner. » Le drapeau blanc était rangé, Addison venait de se jeter dans une bataille aux allures de massacre. Lancée à cœur perdu dans cette lutte à peine entamée, elle savait qu’elle n’en sortirait pas indemne.



« Arrêtes de parler à mots couverts…que veux tu dire ? »



« Alex, être ensemble, toi et moi, c’est vivre caché, à l’insu des regards de l’hôpital, de tes amis, au risque sinon d’y laisser ta réputation et de mettre en danger ta carrière. »



Les yeux d’Alex se noircirent. Il fulminait contre ces problèmes qui pour lui n’en étaient pas. Addison compliquait tout. Addison compliquait sa vie, son travail, et même leur histoire. Cette histoire à laquelle il avait la folie de croire. Il haïssait les regards lointains et perdus qu’elle lui jetait en ce moment. Mais il n’imaginait pas un seul instant sa vie sans Addison. Il ne regrettait pas cette rencontre qui avait si merveilleusement bouleversé son existence. Il ne pouvait plus concevoir la moindre parcelle de son avenir sans y inclure son désir pour sa titulaire. Il décida de ne pas rendre les armes et porta à son tour une autre estocade



« Et alors… pour vivre heureux vivons cachés. C’est un adage qui me va très bien. » dit il sèchement.



« Alex, tu ne comprends pas… » La voix d’Addison se faisait elle aussi plus ferme. Les nerfs lâchaient peu à peu, son visage s’empourprait. Elle s’éloignait du lit à mesure que la bataille prenait de l’ampleur. « Je ne veux pas d’une liaison cachée. Et vivre plus…Tout cela va rendre nos vies encore plus compliquées. Ce n’est pas possible et… »



« Tu as raison, c’est stupide… On passé un bon moment mais on en reste là, c’est ça ? » déclara-t-il, amer. Au fond de lui il savait que les relations titulaires internes étaient une source de problèmes considérable, il assistait en spectateur privilégié quotidiennement aux épopées romantiques de Meredith et Christina. Il avait eu l’incongrue sensation qu’il en serait autrement. Comment avait-il pu s’enfermer dans de telles inepties ? Ce combat était perdu d’avance et chaque coup le ramenait au plus près de la triste vérité.

Tout ça était trop fort. Trop intense. Alex sentait lui aussi qu’il avait besoin de lâcher prise pour ne pas devenir complètement fou. Il devait mesurer la situation, prendre le temps de se poser les bonnes questions, deviner ses sentiments dans la masse d’interrogations qui l’ensevelissait. Il avait l’impression d’avoir assisté impuissant à sa ridicule déchéance, sa vie avait défilé devant lui en accéléré, telle un mauvais film dont on connaît déjà la fin. Il n’avait rien pu faire pour évincer le rouleau compresseur qui avait brisé sa carapace. Addison avait balayé sa vie comme une tornade au parfum de bonheur, un étrange élixir empreint d’érotisme et de romantisme.

Il n’était plus sur de rien. Elle avait fini par le faire douter de lui même, de ses sentiments. Et si tout ça n’était que du désir, et si tout finissait par s’estomper maintenant que le désir avait été assouvi.



Plus que tout, Il avait peur de souffrir. Son existence avait été jalonné de suffisamment de épreuves. Ecorché vif par son enfance chaotique, il avait peur des sentiments, il avait peur de la confiance qu’il pouvait accorder aux autres. Il avait mis des années à bâtir cette forteresse qu’elle avait soufflé comme un château de cartes. Et là, il ne restait plus que des ruines, les fantômes du passé refaisaient surface et les cicatrices devenait des plaies béantes dans son cœur de pierre. Elle venait de broyer ses espoirs et le cœur meurtri qu’il s’apprêtait à lui offrir. Alex commençait à se dire que tout n’était peut être que sa faute, qu’il était incapable de suffire aux bonheur de ceux qu’il aimait.



Il préféra alors abonder dans son sens, et reconstruit immédiatement sa cuirasse. Tout était bon pour ne plus plier sous le fardeau de la déception. Il poursuivit :« Je n’aurais pas du réagir comme ça, c’est vrai, c’était stupide… Toit ça ne peut rien donner de bon ».

Ces mots éraflaient son cœur autant que celui d’Addison. Mais il ne pouvait se permettre de lui ouvrir un peu plus son cœur et de risquer qu’elle ne le réduise davantage en miettes. Il se leva, enfila rapidement un caleçon et se dirigea vers la salle de bain. En sortant de la chambre, il dit à Addison qui rassemblait ses affaires : « Donc tout est ok ? on se retrouve à l’hôpital ? »



Addison ne pouvait répondre. De sa confiance et de sa contenance, il ne restait plus qu’un champs de ruines. Un spectacle de désolation qu’elle cacha tant bien que mal. Elle posa ses yeux sur lui puis bredouilla un « oui » qui permit à Alex de s’éclipser.

Il avait été si dur, et en même temps, elle savait qu’elle n’avait pas été tende non plus. Mais tout cela était si difficile à réaliser. Ces mois de séduction devaient ils se résumer à une nuit, aussi ardente fut-elle ? Il n’était pas difficile pour elle de lire les sentiments qui se profilaient dans son cœur, qui avaient même déjà éclos. Elle savait bien qu’il y avait plus que de l’attirance là dedans. Et que l’acidité des paroles qu’elle avait prononcé n’étaient qu’un moyen désespéré pour tenter de retrouver le chemin qu’elle s’était tracé.

Mais Alex était il sincère ? N’éprouvait-il rien d’autres que du désir ou tentait il de jouer la carte du raisonnable ? Elle était là, plantée au milieu de cette chambre sombre, théâtre tragi comique de leur relation tumultueuse. En une nuit, tout avait basculé.



Elle ramassa ses affaires, chercha en vain à mettre la main sur son soutien gorge et se décida finalement à quitter la pièce sans le précieux objet. Tout cela était définitivement trop pénible. Et elle ne voulait pas recroiser à nouveau Alex. Pas tout suite. Pas avant d’avoir un minimum ordonné tous ces sentiments qui s’emmêlaient dans son esprit.



Elle descendit l’escalier, attrapa son sac qui traînait en bas des marches puis entendit une voix venant de la cuisine.



« Alex, c’est toi ? » questionna la voix qui se rapprochait